Cette vallée est l’une des plus belles du Sud marocain.
On se trouve, tout au long de la route, au bord d’une vallée dégagée offrant un dégradé d’ocre, de rouge et de... rose qui tranchent avec le vert intense des champs bordant l’oued.
Cette vallée est l’une des plus belles du Sud marocain.
On se trouve, tout au long de la route, au bord d’une vallée dégagée offrant un dégradé d’ocre, de rouge et de... rose qui tranchent avec le vert intense des champs bordant l’oued.
Ici alors que la région était peuplée de dinosaures, la surrection du Haut Atlas a vigoureusement plissé les dépôts sédimentaires de l’ère secondaire, façonnant d’étranges montagnes aux reliefs ondulés, telles d’immenses vagues de boue.
C’est ce qui fait la majesté des lieux.
On y cultive bien des roses mais elles ne fleurissent qu’un mois et demi par an, de mi-avril à fin mai.
On en récolte en moyenne un millier de tonnes par an.
La moitié de la production est séchée, l’autre moitié distillée pour faire de l’eau de rose ou des onguents, le tout exporté majoritairement en Europe.
4 tonnes de de roses sont nécessaires pour obtenir 1kg d’extrait.
On dit de la très odorante Rosa Damascena qu’elle aurait été introduite au Maroc il y a longtemps par des pèlerins en provenance de Damas (d’où son nom)… même si certains affirment que c’est l’inverse: ce serait la fameuse rose de Damas qui viendrait du Maroc!
Connaissance approfondie du terrain
Equipe 100% locale
Personnalisation des itinéraires
Sélection rigoureuse
Soutien à l'économie locale